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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 07:39
A propos de nettoyage énergétique des lieux.

Ce doit être le bon moment pour moi, mais le même cas se propose de façon recurrente, le contexte particulier de la frontière entre le civilisé et le sauvage.
Des maisons situées en bordure de ZUP, ZAC, bétonné et en taule, à la lisière de la forêt.

Le sauvage c'est de là que nous venons, tous. La civilisation c'est ce que nous avons créé, fabriqué.
A la frontière une maison avec ses habitants.
Le sauvage est très créatif et très tenace, il suffit d'observer ce que nous appelons communément et par ignorance civilisé "les mauvaises herbes". Nous pouvons passer un temps fou à "ranger" et nettoyer notre espace vert personnelle, il y a toujours un pissenlit, une véronique envahissante ou autres plantes, qui squattent notre prairie gazonnée. (Voir fin d'article digression et jardinage)

Nos maisons au bord des bois donc. Entre potager et forêt dense, il y a une frontière qui n'est qu'au cadastre. Les fougères et les ronces reviennent très vite et tout un tas d'animaux aiment fleureter avec la chaleur de votre foyer. La forêt se fiche totalement de nos décisions administratives.
Énergétiquement ce sont des zones incroyablement passionnante à traiter.
La forêt est souvent en colère. Elle se sent abîmée, par les hameaux construits très rapidement, insultée et pénétrée de façon abusive.
La maison et/ou le hameau se sentent en danger avec la forêt.
Le sauvage et le civilisé, c'est comme la nuit et le jour.

Les couples qui sont dans ces maisons, sont souvent à l'image de leur maison. Ou plutot, la maison s'accomodent de ses desarroies d'origines et les transforment pour s'harmoniser avec le "maître" des lieux.
Sur les couples les repercussions sont multiples selon les personnalités... Soit l'un des 2 est happé, comme la maison et a du mal à construire sa vie socio-pro, se sentant ralenti. D'autres se retrouvent sur la ligne frontière et s'affrontent....

Et ça tourbillonne à en coller le mal de mer.
Le jardin ne sait plus ce qu'il est, sauvage ou civilisé? La maison a bien souvent des "envies de partir"' ne pouvant s'ancrer à une terre qui la refuse. Terre qui sur plusieurs couches est, elle même, en perte identité.
Se demander à chaque instant qui suis je? Changer du sauvage au civilisé, gymnastique éprouvante et contradictoire ça fiche le tournie!!! Passer du jour a la nuit toutes les minutes ça perturbe.

Pour les personnes en pertes d'ancrage terre, la maison de vient comme une fusée spatiale.
Le "Ici et Maintenant", de l'homme n'est pas celui d'une forêt qui est ici depuis 3000 ans, passant de milliers d'hectares à une centaine, grillagée, avec des panneaux de "chasse gardée" ou " zone militaire" ou rien et un monticule d'ordure posé les fainéants qui aurait pu aller jusqu'à la dechetterie!!

J'entends les sceptiques me faire remarquer que pour l'instant, je psychanalyse une forêt et des maisons et que vraiment on peut faire dire n'importe quoi à un arbre ou un salon.
Sans doute, mais les arbres et les maisons ne seront pas contents :))
On a le droit de ne pas vouloir ressentir "l'esprit des lieux", et ce n'est pas de lieux "Hantés" dont je parle, mais de tout ce qui nous entoure, tout ce qui vibre subtilement.

Pas content les arbres, absoluement!!
Nous le savons bien la zone frontière est une trace arbitraire, rarement naturelle, point de repère légal, civilisé, administratif. C'est la ligne refuge des cultures, des croyances, fausses et/ou ancestrales.
Parfois zone de guerre, parfois compromis bizarre et alambiqué. Peu importe, il faut bien rééquilibrer tout ce bordel, parceque la commune a décidé de raser une partie, parceque du sauvage devenant sol militaire ça grince et pas que dans le vent.

Nos meilleurs points de repères pour comprendre ce qui se passe "à l'œil nu", se sont les plantes et les animaux le vivant visible et en conscience du "naturel".
Par exemple: Les plantes du pépiniériste mise en terre, à certains endroits, qui s'épanouissent et à une autre place il est bouffé en 3 jours, ou tout sec.
Etre attentif à Là où se couche le chat, là ou aboie le chien... Là où la forêt s'obstine à faire pousser ses protégés. Là où viennent brouter les chevreuils, là où piétinent les sangliers. Bref la frontière est "violée" en permanence par tous, car pour la "Terre", les délimitations du bout du jardin n'existent pas.

Si vous voulez rester maître de votre périmètre et maîtriser en douceur le compromis sauvage/civilisation, je vous conseille:


De vieilles traditions consistent à border son périmètre de sel en demandant protection et harmonisation. Expliquer à son jardin, qu'il est Notre jardin et qu'on aimerait bien y planter ceci et cela, si il est d'accord. Respecter la foret et lui demander de bien vouloir accepter notre périmètre comme mini zone civilisé, et RESPECTUEUSE du SAUVAGE qui l'entoure.
Le sel est un filtre, cela fonctionne dans beaucoup de contextes. Border son périmètre de sel magnétisé, permet de préserver son harmonie familiale.

Quand il fait chaud, un peu d'eau pour les oiseaux et les chevreuils (oui les rats viendront aussi, ils sont plus fort que nous avec les frontières de ce genre;)... Quand un arbre tombe on le remercie d'avoir été là si longtemps, on aime la forêt, on lui dit, on pleure avec elle toutes les souffrances endurées, souvent elles nous ressemblent ... Et alors, peut être aurez vous la surprise merveilleuse de voir un "Bambi" s'arrêter, vous regarder tranquillement avec douceur et sans peurs, avant de repartir gambader dans la forêt.
Nous avec Audrey, du cabinet JADE, nous remercions tous ces vivants sauvages qui ont l'amabilité de bien vouloir nous écouter et d'accepter nos harmonisations.

Les maisons "tanguent" moins, les célestes distraits peuvent s'ancrer, les ancrés terre peuvent se ressourcer. Les zones de conflits deviennent des zones d'échanges et d'écoutes.
Les frontières sont douces, respectées par tout le "monde vivant" et le sauvage accepte de livrer sa douceur, protectrice. La guerre continuera ailleurs mais pas dans votre jardin!

Mieux que Miss France, je revendique le droit à la paix et à l'harmonie, tout en respectant les drôles de choix de tout ce qui sont hors de mon périmètre.

Digression jardinage:
Si l'on prend conscience des possibilité multiples qui sont données à une semence fertile de pousser on comprend vite que n'importe quelle graine est apte à se développer lorsqu'elle sort du cul de l'oiseau, non digérée,avec son engrais formidable: le guano. Faut compter sur le vent aussi qui fait voler les pollens... Le climat et certaines graines qui peuvent patienter des mois voir des années avant de sortir... Bref notre jardinet de ville est soumis à de multiples invasions permanentes et les actions du voisinage ...
Cependant de carré à carré dans une rue, nous n'avons pas toujours les mêmes intrus...
On dit que ce qui pousse dans Notre jardin est appelé par un besoin de Notre corps. C'est une autre forme de sauvage qui vient nous dire bonjour.
Depuis que je mange des orties, elles poussent moins chez moi. Quand je n'en aurais plus besoin elle poussera ailleurs ;))) la où de vieilles colères subsistent.
Cessons d'arracher celles qui veulent nous parler. Le pissenlit au printemps proposent de vous débarrasser des colères de l'hivers. De la mauve rampante partout? les racines séchées et broyées se mâchent pour calmer la toux sèche.
Accepter les propositions du sauvage qui squattent votre jardin, cherchait sa comestibilité, ses actions soignantes et découvrez que l'ortie est une amie merveilleuse, contenant des propriétés formidables. Elle nettoie le sang plus profondément que l'ail. Elle est bonne, savoureuse.

Recette soupe d'ortie: Prendre les jeunes poussent du dessus et de toute façon de la jeune ortie, avec des gants Biensur.
Garder les feuilles que vous pouvez passer en fricassée avant d'ebouillanter. Assaisoner à votre goût. Faire cuire minimum 12 minutes. Mixer, manger...
C'est bon, c'est un cadeau gratuit et très riche from Uinvers Spirit :))))

Vous souhaitant de fleureter plus souvent avec votre part Sauvage Terre, pour redécouvrir vos racines de vie.

Beau WEEK-END
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